Un soir d'été Nous nous sommes rencontré. Les mois sont passés, Et tu m'as quitté.
J'ai criée, Les larmes se sont déchaînées. Mais tu étais déjà bien loin, Mon malheur ne te tourmentait point. soudain, la haine m'a envahit. . . Par un simple mot, tu as brisé ma vie.
D'abord je n'arrivais plus à dormir, Puis j'eu envie d'en finir. Les pensés noires se sont installées, Loin d'être une idée passagère, je voulais me suicider.
Je me détruisais, Je me tailladais les poignets. Tu le savais, tu le voyais. . . Mais tu n'as rien fais.
Je ne mangeais plus, Et quand tu sus Que j'avais sombrée dans l'anorexie, Tu as souris.
Plus les jours, les semaines et les mois passaient, Plus tu me manquais. Les tentatives de suicide s'accumulaient. . . Personne ne comprenais.
Six mois après, J'en eu trop marre. J'ai décidée de mettre fin à ma destiné un samedi soir.
Debout dans ma salle de bain, Une lame de rasoir à la main, J'ai tendue mon poignet devant moi Et l'ai ouvert en pensant à toi.
Le sang se mit à couler, Ma tête à tourner. Je me laissa tomber par terre, Comme je suis tombée devant cette amour éphémère
Puis j'ai entendue une porte claquée, Mon nom fut crié.
Tout à coup, je reconnu ta voix. . . C'était bien toi!
Tu es entré, M'as pris dans tes bras. J'ai regrettée, Le geste qui vint avant toi.
Le sang continuais à ruisseler, Tu ne savais que faire. C'est quand j'ai dis "je t'aime. . . ", mes dernier mots prononcés, Que tu es redescendus sur terre.
Pour la première fois, Tu as versé une larme pour moi. Tu dis que si je devais partir, Toi aussi tu allais en finir.
Mes yeux se sont fermés, Pour rester clos à jamais. Mon âme s'envolait. . . Du haut de la pièce, je te regardais.
A ton tour, tu pris la lame Pour rejoindre mon âme. Tu as mêlé ton sang au mien, Comme pour mêlé notre chemin.
Tu t'es allongé à mes côtés, As enlacé mes doigts des tiens. Tu dis: "on va se retrouver. . . " Et ce fut la fin.
Les yeux humides sans espoir, Des larmes de sang coulent ce soir, Souillant une sainte image floue Que fixe désormais un fou.
Le triste parfum livide D'une fleur fanée frigide Embaume l'air d'un sombre suaire, Masquant la douleur des chairs.
Perdu dans ses souvenirs, Il oublie de s'endormir. Et saigne son esprit malsain
Que pleure un vague corps sans fin. Il cherche à tâtons la porte Que ses plaies profondes exhortent. Et toujours ses bras s'écorchent, Lorsque ses mains s'en approchent.
Ses plaies se mettent à saigner, Il ne désire plus rêver, Rejetant celle qu'il aimait Et regrettant à jamais.
J'ai peur quand ton absence devient oppressante J'ai besoin du jour qui vient éclairer mon coeur J'ai besoin de cette lumière qui efface cette horreur J'ai peur quand tu oublies que ma flamme est tremblotante
Les lueurs de l'aurore sont pâles sans teint Elles n'ont pas de reflet elles réchauffent en silence Le coeur des hommes qui n'en sont que charmés Rayonnante elle leur fait oublier Au point du jour en ouvrant ses mains blanches Elle leur apporte la félicité sans fin
Tu oublies que nous sommes deux faces d'une même pièce Tu sais que j'ai besoin de ta lumière pour survivre Tu sais que sans toi le jour comme la nuit est de cuivre Tu oublies que je ne veux pas que tu me laisses
La lumière du jour pâlit éclatante Quand elle se lève elle est étincelante Les paroles restent muettes Quand le jour éclaire nos têtes On se comprend sans parler La légèreté du masque fermé
Je sais que tu n'oublieras pas J'espère que tu m’emmèneras J'espère que tu te souviendras Je sais que tu me hais déjà
Chaque jour, Pour ne pas me sentir seul, Je maudit Dieu De m’avoir abandonné, De m’avoir donné L’entendement. L’intellect A étouffé Le sens du sacré Qui soutenait Mon étoile, Comme le tuteur Une plante frêle.
Chaque jour, Je crie à tue-tête Pour ne pas me sentir seul Nul écho Ne revient du désert.
Chaque jour, Je pénètre Les terres de l’ignorance, Le domaine de l’oubli Pour oublier Ma condition.
Chaque jour, je succombe Sous le poids De mes obsessions, Dans le silence, Total, Du désert de Dieu.
Chaque jour, Je m’arrête, Au milieu du chemin, Pour me retourner, Et aspirer La poussière De mes pas.
Chaque jour, Je cesse de penser Pour espérer Etre Un être humain.
de bien belle parole, moi aussi je me retourne qt je marche, je reve
d'amour, de vivre, d'aime mais va vie a linterieur est un enfer.
A l'exterieur j'essaie de tampone un peu mais y a des fois ou
je devient "fou" et j'ai envie de partir rejoindre mes aieux. mais je
serre le poin a+
Vous qui lisez mes mots avec passion, avec douleur ; j’aimerais vous remerciée de me lire sans me juger... Je vous donne un peu de moi, c’est une partie bien triste que je vous offre et j’en suis désolée, mais, écrire toute cette tristesse, vous la faire partager, ça me réchauffe le cœur... Je me sens vivante, libre et écoutée... Cela peut vous paraître bête, mais je me sers de mon point faible, ma maladie, pour devenir plus forte, et vous m’aidez dans cette voix, en me lisant, en me remerciant... Je pensais être seule au monde dans cet état et maintenant, je me rends compte que nous sommes des milliers, alors mes mots, ils sont aussi pour vous... Je décris tous ces sentiments qui nous tuent peu à peu, je veux que l’on nous comprenne un peu mieux, qu’on se dise : « ils ne sont pas fous, ils sont juste bien triste... » On vis dans une société qui rejette tous ce qui sors des « limites », je veux les franchir, je veux pouvoir crier au monde que je ne suis pas ordinaire, que je suis malade mais que je ne l’ai pas choisie, que non, je ne suis pas un déchet... Je suis une personne à part entière, un peu plus délurée que les autres et encore, je me trouve dans la moyenne... Je n’ai pas peur d’avouer ce que je suis, je n’ai pas peur de dire que je suis dépressive, je n’ai pas peur de dire que j’ai des cicatrices plein les bras et plein le cœur... Parce que, je ne suis pas la seule à vivre dans cet enfer, parce que les personnes qui me juge ou me rejette me font pitié, je suis triste pour eux en fait... Jamais ils ne comprendront ce que ça veut dire de vivre... Vivre, c’est connaître souffrance ; Vivre, c’est garder espoir ; Vivre, c’est savoir qu’un jour la mort viendra nous chercher ; Vivre, c’est avoir connu l’enfer pour mieux apprécier chaque instants... Je ne suis pas philosophe, je suis une gamine de 17 ans qui a grandis un peu trop vite ; une gamine qui n’a pas la langue dans sa poche ; une gamine qui sais mieux que quiconque ce que c’est de vivre pleinement, de savourer chaque secondes, de capturer chaque rires pour mieux pleurer ensuite... J’écris pour mieux me rappeler que j’ai vécu, et que j’ai survécu... Vous m’êtes tous inconnus et pourtant je vous reconnais dans chacun de mes mots... Merci
Commentaire de sue666 (25/03/2007 14:57) :
tout au long de ton blog je me sui reconnu est surtout j'ai reconnu c
ke ressen mon cousin ki comme toi est malade est ce ba pour vivre meme si
on ce connai je te dit soit forte et continu a te battre
Commentaire de gus (02/07/2007 04:29) :
je me reconnait dans chacun de tres texte c vrmt beau jadore ske tu fai
continue
je ne te conai pa, mai ce ke tu ecri me touche o plus profon de mn coeur,
je me sen proche de pratiquement tt tes textes, bien que ds certains, les
situation son plutot extremes.com mwa tu t'évade ds un otre monde.
Quoi qu'il en soi, j'adore ce que tu fai, et je te souhaite bon
courage pr cette dure épreuve qu'est la vie. Bsx.